Ludwig von Köchel consacre tout son temps à répertorier les œuvres du grand Mozart dans un gigantesque catalogue. Epuisé de travail, il voit Mozart en songe, et c’est un compositeur en pleine crise qui se présente à lui, avide de liberté et de nouveauté. Alors qu’au détour d’une Sonate il cherche sur son piano la musique qui peut « toucher le cœur de l’homme », s’installe un dialogue tantôt léger, tantôt grave, souvent caustique entre ces deux âmes passionnées.
Inspirée de la Sonate pour piano numéro 11, cette fantaisie mozartienne nous entraîne au cœur de l’acte de création avec ce qu’il comporte d’embuches, de découvertes et de folie.
Bienvenue dans ces contrées Mozartiennes à la fois référencées et fantasmées!
NOTE D’INTENTION
PRESSE
MORDUE DE THÉÂTRE : « C’est complètement ludique, pas dénué d’humour, et, pour ne rien gâcher, c’est un véritable plaisir pour les oreilles ! (…) Et c’est vraiment chouette, car le courant passe totalement de la scène à la salle : le partage est là. Ce soir-là, en plus du théâtre, on parlait une autre langue : celle de la musique. »
LA REVUE DU SPECTACLE : « Camille de Leobardy possède tous les atouts pour interpréter ce spectacle qu'elle a également écrit. Elle est comédienne, mais aussi pianiste, ce qui double le plaisir du spectacle qui passe tantôt du répertoire théâtral au concert. La sonate pour piano numéro 11 sert de guide musical à la pièce (...) l'humour sertit de manière franche ce spectacle, source autant de mélodie, de rire que de révélations. »
