Marius est un jeune homme que la mer exalte. Il aime son père César, bourru et bonhomme, il aime aussi la petite Fanny qui vend des coquillages devant le bar de César.
Depuis son enfance, l’envie de courir le monde l’enflamme.
Il lutte contre sa folie. Il ne veut pas abandonner son père qui en mourrait peut-être de chagrin, ni la petite Fanny qui ne pense qu’à lui. Et pourtant la mer est là…
Jean-Philippe Daguerre et sept comédiens de la branche méridionale du Grenier de Babouchka font résonner la merveilleuse langue du grand Marcel Pagnol !
NOTE D’INTENTION
« César : Pour faire un bon Mandarin-Citron-Curaçao tu mets d'abord un tiers de curaçao. Fais attention : un tout petit tiers. Bon. Maintenant, un tiers de citron, un peu plus gros. Bon. Ensuite, un Bon tiers de Picon. Regarde la couleur. Regarde comme c'est joli. Et à la fin, un Grand tiers d'eau. voilà.
Marius : Ca fait quatre tiers.
César : Exactement. J'espère que cette fois, tu as compris.
Marius : Dans un verre, il n'y a que trois tiers.
César : Mais, imbécile, ça dépend de la grosseur
des tiers ! »
Marius : Ca fait quatre tiers.
César : Exactement. J'espère que cette fois, tu as compris.
Marius : Dans un verre, il n'y a que trois tiers.
César : Mais, imbécile, ça dépend de la grosseur
des tiers ! »
PRESSE
GALERIE
Soutien(s) : Théâtre Armand Salon de Provence