Dans l’Amérique conservatrice des 70’s, le jeune Caspar a connu l’inceste et la maltraitance.
Avait-il d’autre choix que celui de se réfugier dans la folie ?
Dans une scénographie qui surfe entre l’art contemporain et le cinéma de Bergman, le voyage de Caspar est à la frontière de la normalité, du rêve, de la réalité et des angoisses collectives à travers la relation qu’il tisse avec son infirmier Leland. La pièce n’est pas sans rappeler le lyrisme d’un Paul Claudel ou le sulfureux huis-clos d’un chant d’amour de Jean Genet, longtemps censuré.
Où se place notre normalité ? Quelles sont nos frontières intérieures ?
Le fou est celui qui a tout perdu excepté la raison.
Caspar, personnage rimbaldien refuse l’enfermement, il cherche la liberté même
au prix des affres de la folie
NOTE D’INTENTION
PRESSE
L’autre scène [.org] – David Rofé-Sarfati – Janvier 25 : Nous ne sortons pas indemne de cette performance applaudie copieusement.
La Provence – Jean-Rémi Barland – Juillet 24 : « un choc, une performance, un chef d’œuvre »
GALERIE
Soutien(s) : Résidence de création à Leyme (46)