CREATION A AVIGNON
Pour le « bon plaisir » du Prince et pour se livrer à un jeu autant intellectuel qu’érotique, Sylvia est enlevée de force.
Son couple « défait » va en donner deux, créant par la même une double inconstance !
Mais ce ne sera pas une charmante comédie pastorale. Nous assiterons plutôt à « l’histoire élégante et gracieuse d’un crime » (selon Jean Anouilh)
LACLOS ET SADE NE SONT PAS LOIN !
NOTE D’INTENTION
3 réflexions pour ma mise en scène :
- le goût du XVIIIème siècle pour les expérimentations « scientifiques » des comportements humains (voir « La dispute » chez Marivaux). Pour cela, je jouerai sur une scénographie qui permettra aux personnages de suivre « l'expérience » et donc d'intervenir dans l'action pour la faire rebondir.
- la différence de classe entre le couple Prince/Flaminia, et le couple Arlequin/Sylvia que Marivaux qualifie de « naïf », c'est a dire de naturel, de non perverti par la société (à rapprocher du couple Valmont/Merteuil),
- je veux des costumes d'une classe XXL !!!!!!!!!!!
(Jean-Paul Tribout)
- le goût du XVIIIème siècle pour les expérimentations « scientifiques » des comportements humains (voir « La dispute » chez Marivaux). Pour cela, je jouerai sur une scénographie qui permettra aux personnages de suivre « l'expérience » et donc d'intervenir dans l'action pour la faire rebondir.
- la différence de classe entre le couple Prince/Flaminia, et le couple Arlequin/Sylvia que Marivaux qualifie de « naïf », c'est a dire de naturel, de non perverti par la société (à rapprocher du couple Valmont/Merteuil),
- je veux des costumes d'une classe XXL !!!!!!!!!!!
(Jean-Paul Tribout)
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Soutien(s) : ADAMI