Pierre Diot est convoqué en 2034 par France Travail pour un emploi de « divertisseur ». En une heure quinze, il doit prouver qu'il est capable de faire rire en racontant sa carrière. Nous verrons donc, tour à tour une journaliste tortionnaire, une psychothérapeute psychopathe, un Uberlover, un Père Noël réduit en marmelade... En tout, une dizaine de personnages dans la machine à laver les rêves, traversant le siècle tambour battant dans un monde qui ne tourne plus rond et toujours trop vite.
Il veut réaliser son rêve... et c'est vous qui décidez !
NOTE D’INTENTION
Je me suis aperçu que l'histoire d'un gamin dont les rêves étaient très vite étouffés par la nécessité de se plier à la dure loi du monde du travail trouvait écho chez beaucoup de spectateurs. C'est un miroir qui nous réfléchit et nous fait réfléchir. On rit parce qu'on se reconnaît, on "se retrouve" dans les deux sens du terme: on se retrouve dans le personnage comme on se retrouve tous ensemble, ce soir-là, au même moment, au même endroit, pour rire de la même chose. Les retours à l'enfance, les frissons amoureux, la poésie raconte une humanité que ni les robots, ni les institutions, ni les centres de pouvoirs, n'arriveront à éteindre puisqu'elle est défendue par l'arme absolue : l'humour.
PRESSE
GALERIE
Soutien(s) : ADAMI, SACD