Par la magie d’un vœu, Dorian Gray conserve la grâce et la beauté de sa jeunesse. Seul son portrait vieillira et gardera les stigmates de tous ses péchés. Le jeune dandy s'adonne alors à toutes les expériences. Wilde nous lance dans une quête du plaisir et de la beauté sous toutes ses formes, belles ou atroces ; l’art n’a rien à voir avec la morale.
L'adaptation à succès de l'unique roman d'Oscar Wilde de retour pour la cinquième année consécutive à Avignon.
NOTE D’INTENTION
Toute création a sa part d’obsession ou est le fruit d’une obsession. Poursuivre une idée de manière aussi obsessionnelle a de quoi m’inquiéter... Pour me rassurer, je me dis que c’est le propre de certains artistes que de vouloir saisir, du moins se donner l’illusion, à force, de comprendre ou de capturer une image, un instant, une idée... C’est maintenant la quatrième fois que j’explore l’œuvre de Wilde. Je suis persuadé que s’il avait pu échapper à la censure et à la morale de son époque, il en aurait fait sa pièce de théâtre la plus aboutie... Rares sont les romans aussi bien dialogués : certaines scènes sortent tout droit du livre. Et, par la suite, pour écrire ses meilleures pièces de théâtre, Wilde n’a jamais cessé de piocher dans son unique roman. Tel est mon rêve et mon obsession : vous faire découvrir, pour la première fois, cette nouvelle et certainement la plus grande pièce d’Oscar Wilde.
Thomas Le Douarec
Thomas Le Douarec
PRESSE
Le Figaro Magazine : Excellent !
Télérama : Très réussi !! TT
L'Obs : Remarquable ! ***
Figaro : Brillant ! ****
Marianne : On jubile ! À ne pas rater !
France Inter / Le Masque et la Plume : Il faut y aller !!!
Valeurs Actuelles : Passionnant !
ELLE : Un charme vénéneux !
Figaroscope : La salle suspendue ! ****
