La métamorphose des cigognes est l’histoire violente et légère d’un homme enfermé entre quatre murs face à un gobelet vide. Pendant une heure, cet homme essaye de suivre le protocole sans lequel son projet ne verra pas le jour : faire un enfant par fécondation in vitro. Au gré des apparitions de personnages qui se veulent délirants à force de se vouloir pragmatiques, Marc Arnaud poétise une situation plus que triviale et fait de l’endroit sordide où il est enfermé le pays fantastique de son imagination.
« Il y a des moments exceptionnels comme celui offert par Marc Arnaud (...) Une situation qui pourrait paraître prosaïque (...) et dont il fait un bijou ! » LE FIGARO                    
                 
                                            NOTE D’INTENTION
                                                Je crois que ce solo (pour essayer de trouver un mot qui réunisse entre le stand up et le théâtre) c’est aussi une façon d’explorer l’intérieur d’une tête de garçon qui se demande comment il est devenu l’homme qu’il est devenu. Comment il s’est formé... Dans sa sexualité, dans son rapport aux femmes, aux hommes, à la santé ou du moins au soin que l’on s’apporte à soi même ou pas, dans ses croyances, ses absences de croyance, ses désirs, ses addictions. Et tout ça lui pète un peu à la gueule mais « on manque de temps, dépêchez vous monsieur Arnaud » vient souvent lui rappeler l’infirmière.                                            
                                                                                    GALERIE
 Soutien(s) : Studio de Virecourt
     
                
                
           
                


