« Sans l’irruption de la Révolution, cette princesse insignifiante aurait tranquillement continué à vivre comme des millions de femmes de tous les temps. »
Avec une légèreté toute viennoise, Zweig dresse un constat ironique de la monarchie, tout en hissant peu à peu la figure de Marie-Antoinette au rang d’héroïne. On croit connaître ici l’issue fatale mais un suspense surgit à chaque rebondissement.
Stefan Zweig unit Marie-Antoinette et la Révolution dans une même fatalité de destin, telles les deux faces d’une même médaille tragique.                    
                 
                             
            
                                    PRESSE
        	                                L’Obs*** :  Ce que l’histoire devient prenante quand elle est racontée par un grand écrivain !        	                            
        								        							
        	                                Armelle Heliot :  Un beau moment d’intelligence et une manière tendre de faire revivre ce destin d’exception        	                            
        								        							
        	                                L’officiel des Spectacles :  Deux comédiens exceptionnels.        	                            
        								        							
        	                                WebThéâtre :  Les comédiens ont une présence vive et profonde.        	                            
        								        							
        	                                Vanity Fair :  Le public ressort de cet intimiste spectacle avec un autre regard sur la grande Histoire.        	                            
        								        							
                

