Madame Pylinska, aussi accueillante qu’un buisson de ronces, impose une méthode excentrique pour jouer du piano... Au fil des cours, de surprise en surprise, le jeune Éric apprend plus que la musique, il apprend la vie.
Une fable tendre et comique, garnie de chats snobs, d’araignées mélomanes, d’une tante adorée, et surtout de mélodies de Chopin.
Après le triomphe de « Monsieur Ibrahim et les fleur du Coran », Éric-Emmanuel Schmitt remonte sur les planches. Dans ce monologue autobiographique et drôle où il fait vivre plusieurs personnages colorés, accompagné de Nicolas Stavy, pianiste de réputation internationale, il explore l’oeuvre de Chopin, sautant de pièces célèbres en pages plus rares.
Après le triomphe de “Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran”, le retour
d’Éric-Emmanuel Schmitt sur les planches, dans une fable tendre et comique.
NOTE D’INTENTION
"Au milieu du salon familial trônait un piano sombre que torturait régulièrement ma grande sœur.
Or, un jour, une femme s’assit devant le meuble et en tira des sons enchanteurs : le temps s’arrêta, la lumière envahit la pièce, on entendit la respiration du silence.
Que s’était-il passé ? Chopin…
Toute ma vie, j’ai cherché le secret de ce moment-là, vécu à l’âge de dix ans. Passionné, j’ai appris la musique, étudié le piano mais Chopin m’a toujours échappé alors qu’il palpite sous d’autres doigts que les miens. À vingt-cinq ans, en rencontrant une professeure de piano polonaise complètement excentrique, Madame Pylinska, j’ai traqué le secret de Chopin.
D’où vient l’étonnant bienfait qu’il apporte à nos âmes ?
Où nous emmène-t-il ?"
Eric-Emmanuel Schmitt, auteur et interprète
"Avoir vu naître, page après page, cette pittoresque Madame Pylinska et ses méthodes peu orthodoxes, percevoir comment elle influença le parcours d’Eric-Emmanuel Schmitt, tant dans sa vie d’auteur que d’homme avide de percer les secrets, fut pour moi un immense cadeau. Puis cela m’offrit également de découvrir un compositeur de génie.
Dans le spectacle, la musique de Chopin et les mots d’Eric-Emmanuel Schmitt cheminent à part, puis, par- fois, ne font plus qu’un : les mots deviennent musique, la musique devient verbale ; ensemble ils nous plongent au cœur de l’humain.
Avec cette même douceur, ce même souffle, cette même énergie, je me suis efforcé de donner chair à la rencontre.
Une rencontre faite de petits riens, au premier abord insignifiants, mais qui, au final, secouent et véhiculent tant de réponses et de questionnements. Une rencontre sur l’apprentissage de la vie.
Une rencontre comme je les aime, tendre mais également habillée d’humour, et qui nous plonge au plus intime de l’intime."
Pascal Faber, metteur en scène
Or, un jour, une femme s’assit devant le meuble et en tira des sons enchanteurs : le temps s’arrêta, la lumière envahit la pièce, on entendit la respiration du silence.
Que s’était-il passé ? Chopin…
Toute ma vie, j’ai cherché le secret de ce moment-là, vécu à l’âge de dix ans. Passionné, j’ai appris la musique, étudié le piano mais Chopin m’a toujours échappé alors qu’il palpite sous d’autres doigts que les miens. À vingt-cinq ans, en rencontrant une professeure de piano polonaise complètement excentrique, Madame Pylinska, j’ai traqué le secret de Chopin.
D’où vient l’étonnant bienfait qu’il apporte à nos âmes ?
Où nous emmène-t-il ?"
Eric-Emmanuel Schmitt, auteur et interprète
"Avoir vu naître, page après page, cette pittoresque Madame Pylinska et ses méthodes peu orthodoxes, percevoir comment elle influença le parcours d’Eric-Emmanuel Schmitt, tant dans sa vie d’auteur que d’homme avide de percer les secrets, fut pour moi un immense cadeau. Puis cela m’offrit également de découvrir un compositeur de génie.
Dans le spectacle, la musique de Chopin et les mots d’Eric-Emmanuel Schmitt cheminent à part, puis, par- fois, ne font plus qu’un : les mots deviennent musique, la musique devient verbale ; ensemble ils nous plongent au cœur de l’humain.
Avec cette même douceur, ce même souffle, cette même énergie, je me suis efforcé de donner chair à la rencontre.
Une rencontre faite de petits riens, au premier abord insignifiants, mais qui, au final, secouent et véhiculent tant de réponses et de questionnements. Une rencontre sur l’apprentissage de la vie.
Une rencontre comme je les aime, tendre mais également habillée d’humour, et qui nous plonge au plus intime de l’intime."
Pascal Faber, metteur en scène
PRESSE
Figaroscope : Touchant et intelligent.
Le Parisien : Une caresse à l’âme et au coeur.
On en sort comblé.
On en sort comblé.
Télérama : Humour, charme et mélancolie.
Contact pro :
Jack-Olivier Laffay
Diffusion
01 73 54 19 34 - - 06 63 24 73 10
jo.laffay@atelier-theatre-actuel.com
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