Les ours polaires ont disparu. Un seul resterait en vie.
Un ministre de l’Écologie missionne son secrétaire, Victor Mulot, pour le trouver.
Problème : Victor Mulot n’a jamais quitté le territoire français, le seul animal sauvage qu’il ait rencontré est un chien, il est allergique à tout ce qui est poilu et il ne supporte pas le froid. Son cauchemar glacial commence.
Après nous avoir fait courir dans le désert du Namib à plus de 40°, Éric Bouvron nous emmène sur son traîneau, de l’autre côté de la planète, à la rencontre des Inuits, sur la banquise devenue si fragile.
Un voyage où la tendresse et l’émotion nous surprennent en plein éclat de rire.
NOTE D’INTENTION
Le rire, le voyage, la beauté au service d’une nature et de peuples en danger.
Tout en divertissant le public et en le faisant voyager, Éric Bouvron apporte son témoignage sur les dangers courus par notre planète. Conscient de la fragilité de la Terre, il essaie de transmettre cette perception en prenant la voie de l’émotion et des effets visuels.
Suite à son précédent spectacle, “N’GUBI, le Bushman”, le comédien s’est aperçu que le public est plus facilement à l’écoute de sujets délicats ou ignorés, mais néanmoins importants, quand ils sont présentés sous forme d’un spectacle qui allie des éléments qui le font rire et rêver : le mélange des arts réunit des conditions qui rendent le spectateur plus curieux et ouvert à la découverte d’autres cultures et peuples.
Laisser quelques traces, dans l’imaginaire des gens et pour la génération à venir. Tout en rappelant que nous étions, par le passé, proches de la nature et liés à elle et que nous sommes les héritiers des cultures qui sont en train de disparaître à tout jamais.
Tout en divertissant le public et en le faisant voyager, Éric Bouvron apporte son témoignage sur les dangers courus par notre planète. Conscient de la fragilité de la Terre, il essaie de transmettre cette perception en prenant la voie de l’émotion et des effets visuels.
Suite à son précédent spectacle, “N’GUBI, le Bushman”, le comédien s’est aperçu que le public est plus facilement à l’écoute de sujets délicats ou ignorés, mais néanmoins importants, quand ils sont présentés sous forme d’un spectacle qui allie des éléments qui le font rire et rêver : le mélange des arts réunit des conditions qui rendent le spectateur plus curieux et ouvert à la découverte d’autres cultures et peuples.
Laisser quelques traces, dans l’imaginaire des gens et pour la génération à venir. Tout en rappelant que nous étions, par le passé, proches de la nature et liés à elle et que nous sommes les héritiers des cultures qui sont en train de disparaître à tout jamais.
PRESSE
Coup de cœur du VAUCLUSE : “Un voyage éblouissant et enrichissant, un petit bijou. Un plaidoyer sur la tolérance des cultures, qui éveille les consciences sur l’environnement qui nous entoure. Pour tous les amoureux de la terre et des aventures humaines, un spectacle à voir absolument.”
REGARTS.org : “Un spectacle plein de vitalité mais aussi de valeurs humaines essentielles, de références à la planète. Une musique inoubliable d’Eric Bono. C’est de la dentelle. Un spectacle à ne pas manquer : ravissement assuré.”
SUDART CULTURE : “Eric Bouvron signe ici un seul-en-scène tout aussi remarquable par la fantaisie, l’imagination que par ses qualités de pantomime et de bruiteur tout à fait étonnantes. Un spectacle drôle et émouvant à l’humour décalé, et mime burlesque qui provoque aussi bien les rires des enfants que des grands.”
VIDEO
Soutien(s) : FIVA Production, Madely et le Théâtre du Vésinet