Inspiré d’entretiens avec des femmes de 18 à 92 ans, ce spectacle établit -à travers 4 monologues- un état des lieux de la condition, des désirs et de l’évolution des femmes durant ces quatre-vingts dernières années.
Juste, poignant et drôle. Un hymne à la liberté !
Être une femme. Avec les rêves que l’on avait petite fille. Avec les rêves que l’on a pour nos filles.
NOTE D’INTENTION
« Quand je serai grande…tu seras une femme, ma fille » est un spectacle évoquant l’évolution de la condition féminine à travers le prisme de la transmission
A l’origine du projet, une interrogation personnelle : Comment se fait-il qu’en 2014 – en dépit de tous les acquis des luttes féministes, et de mon propre parcours où j’ai pu étudier, voyager, faire mes choix – comment se fait-il qu’en 2014, dans l’éducation que je donne à mes enfants, je cherche inconsciemment à "armer" davantage ma fille que mon fils ?!
Dans le cadre d’une résidence artistique que notre compagnie menait dans le Val de Marne, j’ai choisi de travailler sur ce thème : comment vivent les femmes aujourd’hui, ici, avec les valeurs qu’elles ont reçues, et que transmettent-elles à leur tour ? Je suis partie à la rencontre des femmes de Villeneuve-Saint-Georges(94), de toutes les femmes – de toutes origines, de tous âges (la plus jeune avait 18 ans, la doyenne 92), de tous milieux socio-culturels.
La richesse de ces rencontres très diverses constituait aussi un défi : comment faire entendre une parole que nous souhaitions universelle ? Etait-ce possible de parler de la condition de la femme, sans évoquer les différences de culture, de religion… ?
Finalement après six mois de rencontres et de longs entretiens anonymes, j’ai écrit un texte pour quatre personnages, quatre monologues issus de « l’énergie » que j’avais captée à travers tous ces parcours multiples. Quatre femmes de quatre générations – Isabelle, Françoise, Maeva et Henriette – qui me touchent par leur humanité et par tous les paradoxes qui les composent !
« Quand je serai grande…tu seras une femme, ma fille » ne cherche pas à dire une vérité ou à imposer une vision, il invite le spectateur à se poser ses propres questions.
Je crois que l’on peut grandir à tout âge. Et que, grandir ce n’est pas devenir adulte, c’est se rapprocher de soi, de ce que l’on est vraiment.
Je crois que la liberté, comme dit Maeva, est un chemin à l’intérieur de soi.
Je crois que les femmes – et les hommes - doivent sans cesse conquérir cette liberté, celle de vivre leur vie, et non pas celle que l’on attend d’elles et d’eux.
A l’origine du projet, une interrogation personnelle : Comment se fait-il qu’en 2014 – en dépit de tous les acquis des luttes féministes, et de mon propre parcours où j’ai pu étudier, voyager, faire mes choix – comment se fait-il qu’en 2014, dans l’éducation que je donne à mes enfants, je cherche inconsciemment à "armer" davantage ma fille que mon fils ?!
Dans le cadre d’une résidence artistique que notre compagnie menait dans le Val de Marne, j’ai choisi de travailler sur ce thème : comment vivent les femmes aujourd’hui, ici, avec les valeurs qu’elles ont reçues, et que transmettent-elles à leur tour ? Je suis partie à la rencontre des femmes de Villeneuve-Saint-Georges(94), de toutes les femmes – de toutes origines, de tous âges (la plus jeune avait 18 ans, la doyenne 92), de tous milieux socio-culturels.
La richesse de ces rencontres très diverses constituait aussi un défi : comment faire entendre une parole que nous souhaitions universelle ? Etait-ce possible de parler de la condition de la femme, sans évoquer les différences de culture, de religion… ?
Finalement après six mois de rencontres et de longs entretiens anonymes, j’ai écrit un texte pour quatre personnages, quatre monologues issus de « l’énergie » que j’avais captée à travers tous ces parcours multiples. Quatre femmes de quatre générations – Isabelle, Françoise, Maeva et Henriette – qui me touchent par leur humanité et par tous les paradoxes qui les composent !
« Quand je serai grande…tu seras une femme, ma fille » ne cherche pas à dire une vérité ou à imposer une vision, il invite le spectateur à se poser ses propres questions.
Je crois que l’on peut grandir à tout âge. Et que, grandir ce n’est pas devenir adulte, c’est se rapprocher de soi, de ce que l’on est vraiment.
Je crois que la liberté, comme dit Maeva, est un chemin à l’intérieur de soi.
Je crois que les femmes – et les hommes - doivent sans cesse conquérir cette liberté, celle de vivre leur vie, et non pas celle que l’on attend d’elles et d’eux.
PRESSE
LA MARSEILLAISE : "Catherine Hauseux ne frappe pas à mots arrogants sur la gente masculine. Le public féminin est conquis, les hommes s’interrogent"
AviNews : "COUP DE CŒUR: un spectacle émouvant et criant de vérité. La performance de l'actrice est exemplaire, fine et subtile. Stéphane Daurat signe une mise en scène intelligente et en mouvement"
AgendaTheatre : "Catherine Hauseux est vibrante, passionnée, émouvante. A voir absolument !"
ParisTribu : "Un texte profond, drôle et poétique"
VIDEO
Soutien(s) : SET à Villeneuve-St-Georges et SPEDIDAM
Contact pro :
Hauseux Catherine
06 14 41 23 99
diffusion@compagniecaravane.fr
www.compagniecaravane.fr
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