2 femmes, 4 murs. Carrelés. Gabrielle et Agathe, amies que tout oppose, s’étaient longtemps perdues de vue et se retrouvent à la piscine. C’est dans le vestiaire, endroit propice à toutes les pudeurs et exhibitions, qu’entre confidences et complexes, nudité et rivalité, la peintre inconnue et la publicitaire de renom vont essayer de reconstruire une amitié brisée tragiquement. Elles échangent, se racontent : séparations amoureuses et séduction 2.0, temps qui passe et déliquescence des corps, handicap et isolement, consommation et utilité de l’art... Elles finiront par se dévoiler, coulant lentement vers une dangereuse confrontation qui ne les laissera pas indemnes.
"L'amitié est une arme."
NOTE D’INTENTION
Anne Cardona « Longtemps j’ai souffert d’avoir peu d’amies. Les bandes de filles pas pour moi. Trop solitaire. Trop timide. Et puis plus tard j’ai compris pourquoi je m’en étais toujours prémunie. Les sentiments de jalousie et de convoitise entravaient les relations entre femmes, les rendant malsaines voire dangereuses. Même sans homme j’ai toujours eu cette sensation qu’entre 2 femmes il y avait toujours un homme ou l’idée de l’homme à séduire, et donc compétition pour l’hypothétique conquête….
En 2020, les questionnements sur la cause féminine affluent et nous avons tous pu expérimenter les effets du confinement sur l’exacerbation des sentiments. A travers cette histoire entre 2 femmes à huis clos, ces 4 murs à l’intérieur desquels elles sont libres – de parler surtout – quand à l’extérieur elles se cachent, j’ai voulu dire qu’entre 2 femmes dont la jeunesse « fout le camp » le sentiment primal de rivalité, quasi animal, refait vite surface malgré tout ce que l’intellect réfute.
J’ai choisi le vestiaire, cette frontière bizarre entre l’habillé et le nu qui est aussi cruelle que celle qui existe entre la jeunesse et l’âge mûr pour que se dévoilent ces 2 personnalités féminines.
Comme un confessionnal, cet endroit qui révèle tous les complexes, est aussi un théâtre de guerre sans pitié, où c’est avant tout l’âme qui est mise à nu. »
En 2020, les questionnements sur la cause féminine affluent et nous avons tous pu expérimenter les effets du confinement sur l’exacerbation des sentiments. A travers cette histoire entre 2 femmes à huis clos, ces 4 murs à l’intérieur desquels elles sont libres – de parler surtout – quand à l’extérieur elles se cachent, j’ai voulu dire qu’entre 2 femmes dont la jeunesse « fout le camp » le sentiment primal de rivalité, quasi animal, refait vite surface malgré tout ce que l’intellect réfute.
J’ai choisi le vestiaire, cette frontière bizarre entre l’habillé et le nu qui est aussi cruelle que celle qui existe entre la jeunesse et l’âge mûr pour que se dévoilent ces 2 personnalités féminines.
Comme un confessionnal, cet endroit qui révèle tous les complexes, est aussi un théâtre de guerre sans pitié, où c’est avant tout l’âme qui est mise à nu. »
PRESSE
La Marseillaisse : Nouvelles écritures : Anne Cardona se hisse sur le podium
un talentueux et nouvel auteur. À mettre au féminin.
un talentueux et nouvel auteur. À mettre au féminin.
La Provence : Avec adresse, le suspense est ménagé jusqu’à son terme
VIDEO
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Renato Ribeiro
Metteur en scène
06 08 82 93 47
diffusion@joueurproductions.fr
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