« Être… INTOUCHABLE ! Détendre mes muscles… Dans 40 minutes, moi, Julie Linard, je courrai la demi-finale du 800 mètres des JO. 12 ans que je m’entraîne, 12 années que j’attends ces 2 minutes de course avec pour objectif la médaille d’or olympique.
Aujourd’hui, j’ai un mental de championne et ce n’est pas ma douleur au tendon d’Achille qui me fera fléchir. Non ! Aujourd’hui je vais marquer l’histoire ! »
Après « Est-ce que j’ai une gueule d’Arletty ? » (2 Molières 2020), la nouvelle collaboration d’Elodie Menant et Johanna Boyé, à retrouver en décembre 2022 au Théâtre du Rond-Point à Paris.
Dépasser ses limites
pour atteindre son rêve.
NOTE D’INTENTION
Le mot de l’autrice
À l’origine du texte
Un dépassement de soi fascinant et absurde à la fois
"Comprendre la réalité cachée de la vie des sportifs de haut niveau me taraudait. Après de nombreuses recherches (biographies, vidéos, articles…), j’ai découvert un univers extrême et étonnant ! Des journées souvent similaires où les heures d’entrainement et de répétitions deviennent routinières et lassantes, des heures à décortiquer un geste jusqu’à l’imprégnation totale, des heures à accepter la souffrance et à la dépasser jusqu’à l’ignorer, des heures de travail en connivence - ou non - avec un coach qui saura mener l’athlète au-delà de ses limites, des heures de musculation physique et mentale, des heures loin du domicile familial, loin des amis, loin d’une vie sociale classique, loin d’une jeunesse insouciante.
Tout cela dans l’objectif d’une unique quête : être n°1, être le vainqueur !
Et les raisons de faire du sport sont toutes différentes, elles dépendent du pays de naissance, des conditions sociales, de l’influence des parents, du coach et d’une prédisposition naturelle. Chaque athlète a son histoire, je vous raconte celle de Julie Linard. »
Elodie Menant
Le mot de la metteuse en scène
« Il y a des textes qui ont une saveur particulière, avec lesquels nous sommes intimement liés. Il y a des spectacles qu’il nous est nécessaire de conduire, des paroles qu’il nous est urgent de faire entendre : comme un élan.
Cette pièce, en parlant du sport, traite de sujets plus larges et universaux : la discipline, l’engagement, la ténacité. Il met en scène la naissance d’un rêve et l’énergie que demandent toutes les grandes aventures.
" Je ne cours pas, je vole !" est un texte puissant, libre, qui fait écho à une multitude de sujets qu’il me paraît nécessaire, aujourd’hui, de questionner et de représenter au sein de l’espace théâtral. »
Johanna Boyé
À l’origine du texte
Un dépassement de soi fascinant et absurde à la fois
"Comprendre la réalité cachée de la vie des sportifs de haut niveau me taraudait. Après de nombreuses recherches (biographies, vidéos, articles…), j’ai découvert un univers extrême et étonnant ! Des journées souvent similaires où les heures d’entrainement et de répétitions deviennent routinières et lassantes, des heures à décortiquer un geste jusqu’à l’imprégnation totale, des heures à accepter la souffrance et à la dépasser jusqu’à l’ignorer, des heures de travail en connivence - ou non - avec un coach qui saura mener l’athlète au-delà de ses limites, des heures de musculation physique et mentale, des heures loin du domicile familial, loin des amis, loin d’une vie sociale classique, loin d’une jeunesse insouciante.
Tout cela dans l’objectif d’une unique quête : être n°1, être le vainqueur !
Et les raisons de faire du sport sont toutes différentes, elles dépendent du pays de naissance, des conditions sociales, de l’influence des parents, du coach et d’une prédisposition naturelle. Chaque athlète a son histoire, je vous raconte celle de Julie Linard. »
Elodie Menant
Le mot de la metteuse en scène
« Il y a des textes qui ont une saveur particulière, avec lesquels nous sommes intimement liés. Il y a des spectacles qu’il nous est nécessaire de conduire, des paroles qu’il nous est urgent de faire entendre : comme un élan.
Cette pièce, en parlant du sport, traite de sujets plus larges et universaux : la discipline, l’engagement, la ténacité. Il met en scène la naissance d’un rêve et l’énergie que demandent toutes les grandes aventures.
" Je ne cours pas, je vole !" est un texte puissant, libre, qui fait écho à une multitude de sujets qu’il me paraît nécessaire, aujourd’hui, de questionner et de représenter au sein de l’espace théâtral. »
Johanna Boyé
PRESSE
Le Parisien : « **** Un récit rythmé. Un spectacle vif, drôle et sensible. »
Ouest France : « Une course d’obstacles haute en couleurs, riche en émotions et en rires. »
Vaucluse Matin : « Une pièce au rythme effréné (mais aussi) émouvante, et parfois tendre. Une prestation très physique avec des acteurs époustouflants. »
GALERIE
VIDEO
Soutiens : Ville de Saint-Maurice - Théâtre du Val d’Osne, le Théâtre 13, la Pépinière Théâtre, l’Espace Carpeaux à Courbevoie, l’EGP à Fontenaysous-bois, l’Espace Charles Vanel-Lagny-sur-Marne et PUMA et du Fonds SACD Théâtre
Contact pro :
Cécile de Gasquet
Diffusion
c.degasquet@atelier-theatre-actuel.com
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