« Sans l’irruption de la Révolution, cette princesse insignifiante aurait tranquillement continué à vivre comme des millions de femmes de tous les temps. »
Avec une légèreté toute viennoise, Zweig dresse un constat ironique de la monarchie, tout en hissant peu à peu la figure de Marie-Antoinette au rang d’héroïne. On croit connaître l’issue fatale mais un suspense surgit à chaque rebondissement.
« Son métier est d’être royaliste. Sa place est en haut, celle du peuple en bas : elle ne veut pas descendre, il ne doit pas monter. »
PRESSE
L’Obs*** : « Ce que l’histoire devient prenante quand elle est racontée par un grand écrivain ! »
Armelle Heliot : « Un beau moment d’intelligence et une manière tendre de faire revivre ce destin d’exception. »
L’officiel des Spectacles : « Deux comédiens exceptionnels. »
Regarts.org : « Une page d’histoire royalement révolutionnaire. »
Figaroscope : « Zweig en majesté. »