Depuis de nombreuses années, Karl-Etienne Gaufrin vit au quotidien avec des névroses obsessionnelles qui lui compliquent l’existence. Bien décidé à s’en débarrasser, ce dernier a pris rendez-vous avec un psychiatre renommé, un certain Jean-Emmanuel Vertoughuowenein. Mais Gaufrin est loin de se douter que son médecin est tout autant voire plus dérangé que lui…
Bienvenue dans une comédie inattendue, névrosée et décalée où chacun se refile ses angoisses !
NOTE D’INTENTION
Tout commence par une névrose … Puis des névroses … Une obsession qui devient au quotidien difficilement gérable et perturbante. L’obsession d’un objet mal rangé, d’une pensée intrusive ou toute autre situation source de stress puis d’angoisse. Un sujet qui, a priori, est loin de susciter le rire. Mais à y regarder d’un peu plus près, n’y a-t-il pas là un ressort comique ? Ne peut-on pas exorciser ce qui est de l’ordre du pathos pour finalement essayer d’en rire ? Se soigner par le rire, l’humour comme remède naturel, l’autodérision comme pansement : le traitement est tout trouvé !
Et si un jour, une personne atteinte de névroses obsessionnelles rencontrait un individu partageant les mêmes angoisses. Et si cet autre individu était médecin … Et pourquoi pas ? Parce qu’un médecin, de surcroît psychiatre, est forcément exempt de névroses ? Qu’en savez-vous ?!
L’idée est donc bien de créer une arène où un psychiatre reçoit son patient atteint de troubles obsessionnels compulsifs assez sévères. Comme tout médecin, Vertoughuowenein commence par écouter son patient, dresse son diagnostic et cherche la meilleure façon de le sortir de son mal. Oui, mais voilà que ce Gaufrin le met dans une position délicate : un effet miroir s’installe entre les deux hommes. Comment soigner un individu atteint de névroses tout en faisant abstraction de ses propres névroses ? Là est tout l’enjeu !
Et si un jour, une personne atteinte de névroses obsessionnelles rencontrait un individu partageant les mêmes angoisses. Et si cet autre individu était médecin … Et pourquoi pas ? Parce qu’un médecin, de surcroît psychiatre, est forcément exempt de névroses ? Qu’en savez-vous ?!
L’idée est donc bien de créer une arène où un psychiatre reçoit son patient atteint de troubles obsessionnels compulsifs assez sévères. Comme tout médecin, Vertoughuowenein commence par écouter son patient, dresse son diagnostic et cherche la meilleure façon de le sortir de son mal. Oui, mais voilà que ce Gaufrin le met dans une position délicate : un effet miroir s’installe entre les deux hommes. Comment soigner un individu atteint de névroses tout en faisant abstraction de ses propres névroses ? Là est tout l’enjeu !
PRESSE
Europe 1 : « une comédie totalement allumée ! » (Isabelle Morizet)