Après « Et pendant ce temps Simone veille », le seule-en-scène de Trinidad, constitue un véritable voyage de l’enfance à l’âge mûr, un cocktail riche et savoureux comme une invitation pour chacun à s’interroger, à prendre conscience de sa valeur pour grandir et avancer (enfin !) ensemble. Combien de femmes aiment leurs corps ? Combien d’hommes aiment leur organe érectile ? Combien d’entre nous rêvent d’être quelqu’un d’autre ? Avec un style psycho-humoristique singulier, Trinidad bouscule joyeusement les codes et pousse chacun à observer sa propre intimité. Elle se donne pour mission d’éveiller ses congénères à s’aimer encore et… en corps. Écriture acérée, mise en scène pétillante, interprétation ébouriffante, scénographie cinématographique, Trinidad offre un spectacle drôlissime, intelligent et coquin.
Aussi revigorant que dépoussiérant pour l’image de la femme : une véritable pépite !
NOTE D’INTENTION
La libération des femmes a-t-elle eu lieu ? Pas si sûr. Parfois, l’art fait plus avancer les mœurs que de longs discours. C’est le cas avec « Pour que tu t’aimes encore ». Lorsque j’ai rencontré Trinidad, elle m’a tout de suite plu. Voilà une femme libre. Elle a choisi de se moquer des difficultés qu’elle a rencontrées, tant dans sa vie amoureuse que professionnelle, prouvant que nos blessures peuvent aussi devenir nos forces. La femme est souple et adaptable tel le roseau. Lorsqu’elle sait se frotter au chêne, symbole masculin par excellence, rien ne peut lui résister. (Brigitte Lahaie)
PRESSE
La Provence : « C’est très intelligent ! Et quel rythme… on en sort boostées. »
L’écho républicain : « C’est jouissif et cela donne la banane… que l’on s’appelle Eve ou Adam ! Une pépite ! »
Le Parisien : « Une ode à la liberté assumée. »
Fou de théâtre : « Brillant, lumineux et extrêmement drôle… en Amazone de l’humour, elle m’a chopé dans ses filets. »
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Soutien(s) : CNM, Sud Radio