Le jeune Marcel poursuit ses vacances dans les collines du Garlaban. Il y rencontre Isabelle, créature bien énigmatique, qui va lui faire connaître ses premiers émois amoureux… avant sa rentrée au collège. Dans ce 3è volet des Souvenirs d’enfance de Marcel Pagnol, Antoine Séguin ressuscite cette joyeuse fresque familiale en incarnant avec humour et jubilation plus de vingt-cinq personnages. Un pur moment de bonheur pour petits et grands.
Ces Souvenirs d’enfance, ce sont ceux de tous les enfants du monde. Une histoire universelle respirant le bonheur et la liberté.
NOTE D’INTENTION
Incontournables légendes littéraires, les Souvenirs d’Enfance de Pagnol sont une source de jouvence et une ode à l’enfance et à l’adolescence. Voilà près de dix ans qu’Antoine Séguin voyage en compagnie de Marcel, Joseph, Augustine, Paul, l’Oncle Jules, la tante Rose, Bouzigue et de tant d’autres personnages pittoresques de cette œuvre.
Poursuivre cette aventure avec Le Temps des Secrets est une évidence pour lui. Après La Gloire de mon Père et Le Château de ma Mère, il lui faut prolonger le plaisir de partager ce roman intemporel avec le public ou plutôt devrions-nous dire les publics, tant petits et grands sont touchés sans distinction par cette fresque familiale. Car il s’agit bien ici de famille, celle de Pagnol, la nôtre aussi, dont il nous livre une version joyeuse et enthousiaste à travers les yeux de l’enfant qu’il était, que nous avons été ou que nous sommes encore.
Nul besoin d’artifices pour livrer ces confidences biographiques qui, de la Bastide Neuve, au pied du Garlaban, nous conduiront à Marseille pour l’entrée au collège. Nous voilà dans l’adolescence, les amitiés s’égarent, l’amour pointe son nez, l’imagination bat son plein mais le temps est venu de s’affirmer et de quitter l’enfance.
Pour ressusciter cet univers, ce sont plus de vingt-cinq personnages qui défileront sur scène, Antoine Séguin les incarnera pour donner vie à l’histoire tout en respectant la chronologie des évènements et la prose de l’auteur.
À ce jour, il n’existe aucune adaptation du Temps des secrets de Marcel Pagnol destinée à un seul interprète et à la scène. L’envie de partager ce texte phare de notre littérature en le faisant entendre dans sa plus authentique expression, est la première motivation de ce monologue.
Encore une fois, la magie du théâtre se substituera aux paysages provençaux et ces “tranches de vie” partagées avec sensibilité et jubilation nous permettront de nous évader à nouveau dans nos garrigues intérieures que Pagnol sait si bien nous révéler.
Poursuivre cette aventure avec Le Temps des Secrets est une évidence pour lui. Après La Gloire de mon Père et Le Château de ma Mère, il lui faut prolonger le plaisir de partager ce roman intemporel avec le public ou plutôt devrions-nous dire les publics, tant petits et grands sont touchés sans distinction par cette fresque familiale. Car il s’agit bien ici de famille, celle de Pagnol, la nôtre aussi, dont il nous livre une version joyeuse et enthousiaste à travers les yeux de l’enfant qu’il était, que nous avons été ou que nous sommes encore.
Nul besoin d’artifices pour livrer ces confidences biographiques qui, de la Bastide Neuve, au pied du Garlaban, nous conduiront à Marseille pour l’entrée au collège. Nous voilà dans l’adolescence, les amitiés s’égarent, l’amour pointe son nez, l’imagination bat son plein mais le temps est venu de s’affirmer et de quitter l’enfance.
Pour ressusciter cet univers, ce sont plus de vingt-cinq personnages qui défileront sur scène, Antoine Séguin les incarnera pour donner vie à l’histoire tout en respectant la chronologie des évènements et la prose de l’auteur.
À ce jour, il n’existe aucune adaptation du Temps des secrets de Marcel Pagnol destinée à un seul interprète et à la scène. L’envie de partager ce texte phare de notre littérature en le faisant entendre dans sa plus authentique expression, est la première motivation de ce monologue.
Encore une fois, la magie du théâtre se substituera aux paysages provençaux et ces “tranches de vie” partagées avec sensibilité et jubilation nous permettront de nous évader à nouveau dans nos garrigues intérieures que Pagnol sait si bien nous révéler.