Après « Tant qu’il y a les mains des hommes », Violaine Arsac revient avec une nouvelle création : une fiction basée sur des faits scientifiques réels.
C’est l’histoire d’un brillant interne en dernière année de neurochirurgie et à l’avenir tout tracé dont toutes les certitudes vont voler en éclat. D’une polémique scientifique qui va l’entraîner dans une fuite en avant, mettant ainsi en danger sa carrière, l’estime de son meilleur ami et même la femme qu’il aime. D’une quête effrénée où vont s’affronter connaissances scientifiques et sagesses anciennes, médecine occidentale et traditions ancestrales, amour et raison, physique classique et physique quantique.
Là où la science et le cartésianisme peuvent rejoindre le spirituel. Interrogeant le cerveau, la conscience, notre condition humaine.
C’est l’histoire d’un homme qui va prendre le risque de tout perdre, ou de tout gagner.
C’est surtout l’histoire d’amour hors du commun d’Alix et Noé.
Une polémique scientifique véridique. Une histoire d’amour mise à l’épreuve. Des personnages emportés dans le tourbillon de notre monde, entre la violence de ses évènements et la douceur de ses rencontres. Dans une mise en scène entre argumentation rationnelle et sensibilité poétique.
NOTE D’INTENTION
Parce que « Les Passagers de l’Aube » est certes l’histoire d’un amour hors du commun, mais c’est aussi une confrontation entre le rationalisme scientifique et des faits non explicables scientifiquement.
J’ai été passionnée par le fait de construire cette histoire à partir d’éléments véridiques. Avec pour objectif de rendre complètement accessibles les arguments scientifiques abordés et de le faire sur un ton qui puisse être quotidien, vivant, drôle, grave ou émouvant. Le tout au sein d’une pièce de théâtre avec une construction dramaturgique, où l’histoire des personnages reste au premier plan.
Je ne savais que peu de choses du sujet abordé avant de commencer mon travail de recherche et je me suis vite rendu compte que ce que je pouvais lire ou visionner allait beaucoup plus loin que ce que j’imaginais au départ.
La possibilité d’une continuité de la vie de la conscience lorsque le corps est mort, ou que le cerveau est mort, est une question vertigineuse. Contemporaine. Universelle.
Le spectacle n’est évidemment pas construit pour donner des réponses, mais juste soulever quelques questions.
Parce que nous sommes tous des Passagers.
GALERIE
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Chargée de diffusion
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Production déléguée, diffusion
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