Persuadée qu’elle lui a tout piqué, une fan fait une fixette sur la romancière Marie Nimier. Par une espèce de capillarité littéraire, elle lui attribue sa sensualité, son féminisme, son humour, ses doutes, ses réussites et surtout ses échecs. Elle n’a alors de cesse que d'essayer de la rencontrer...
Ou comment la littérature submerge une lectrice un peu fêlée, et permet de découvrir la folie, la drôlerie et la force subversive des monologues écrits par Marie Nimier et réunis sous le titre « La Violence des Potiches ».
"elle m’ôte tout le temps les mots de la bouche. Elle c'est moi ou moi c'est elle ? elle va voir ce qu'elle va voir !"
NOTE D’INTENTION
J’ai eu la chance de rencontrer Marie Nimier en 2013, grâce à la chanteuse ENZO ENZO.
À l’époque le théâtre de Val de Reuil avait offert une carte blanche à Marie Nimier qui a proposé à Enzo Enzo, d’en être l’interprète, entourée d’une pianiste et d’une violoncelliste.
Enzo Enzo m’a offert de participer à l’élaboration de ce Cabaret Littéraire, me faisant là un cadeau magnifique.
J’ai adoré travailler sur ces textes et ces chansons. Je me suis régalée à concocter ce spectacle et suis tombée amoureuse de l’écriture de Marie Nimier.
Trois ans plus tard, Enzo, encore elle !, m’a donné l’occasion de dire certains textes de Marie. J’y ai pris un plaisir intense. C’est rare pour une comédienne de pouvoir défendre des personnages de femmes aussi libres, aussi blessés, aussi sensuels. Jamais mièvres, jamais bêtes, toujours là où on ne les attend pas, entre scandale et douceur. Mettre ses mots dans ma bouche, les exprimer de tout mon corps me fait vibrer.
Je ne souhaite qu’une chose : réussir à partager ces sensations avec le public.
À l’époque le théâtre de Val de Reuil avait offert une carte blanche à Marie Nimier qui a proposé à Enzo Enzo, d’en être l’interprète, entourée d’une pianiste et d’une violoncelliste.
Enzo Enzo m’a offert de participer à l’élaboration de ce Cabaret Littéraire, me faisant là un cadeau magnifique.
J’ai adoré travailler sur ces textes et ces chansons. Je me suis régalée à concocter ce spectacle et suis tombée amoureuse de l’écriture de Marie Nimier.
Trois ans plus tard, Enzo, encore elle !, m’a donné l’occasion de dire certains textes de Marie. J’y ai pris un plaisir intense. C’est rare pour une comédienne de pouvoir défendre des personnages de femmes aussi libres, aussi blessés, aussi sensuels. Jamais mièvres, jamais bêtes, toujours là où on ne les attend pas, entre scandale et douceur. Mettre ses mots dans ma bouche, les exprimer de tout mon corps me fait vibrer.
Je ne souhaite qu’une chose : réussir à partager ces sensations avec le public.